L'impact du COVID

1000 Répondants - Tendances et usages - Avril 2020
Une étude réalisée auprès de propriétaires d'animaux de compagnie de 7 pays européens révèle des changements notables dans leur comportement et celui de leurs animaux depuis le début de la crise sanitaire.
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Quand, où et comment ?

Les répondants au sondage provenaient de France, de Belgique, de Suisse, d'Angleterre, d'Irlande du Nord, d'Écosse, et du Pays de Galles. Le sondage était disponible en français et en anglais et a été effectué entre le 20 et le 28 avril 2020, en pleine crise sanitaire dans ces régions.

Les habitudes alimentaires

Pour la majorité des répondants francophones (76%) et anglophones (62 %), la crise du coronavirus n'a pas modifié les habitudes alimentaires de leurs animaux. Un quart des propriétaires d'animaux anglophones avouent avoir donné de la nourriture et des friandises plus fréquemment, contre seulement 11 % des francophones.

Le besoin d’affection

Environ 40% des propriétaires d'animaux affirment n'avoir remarqué aucun changement dans le comportement de leur animal depuis le premier jour de confinement. La moitié des 60 % restants, soit environ 30%, ont constaté que leur animal cherchait à être plus près de leurs maîtres. Plus de 20% des répondants indiquent que leur animal était plus affectueux. L’étude démontre que si les animaux de compagnie se comportent différemment, ils cherchent à attirer l'attention plutôt qu'à s'éloigner de leurs propriétaires.

Des résultats remarquables

Plus de la moitié des propriétaires d'animaux interrogés signalent que le niveau d'anxiété de leur animal a augmenté ou qu'ils ressentent un changement important depuis le début de la pandémie. 30% des propriétaires d'animaux déclarent avoir fourni à leur animal de compagnie un endroit plus spacieux ou des jouets pour répondre à ses besoins. En outre, plus de 20% ont acheté davantage de jouets pour leurs animaux en raison du confinement.

Conclusion

L’étude indique que les propriétaires d'animaux de compagnie interrogés, bien que confinés chez eux, ne modifient pas globalement la fréquence des repas de leurs animaux. Les résultats révèlent également qu'il n'y a pas de grande différence entre les pays interrogés quant aux changements de comportement des animaux de compagnie.